Qu'on se le dise !

mardi, mai 02, 2006
  1500... Ce qui devait arriver, arrive !
Mise-à-jour, 11-05-06: J'écris encore... dans Blogue ou carnet ?
***
Ce billet est le 1500ième que je publie dans ce carnet. C'est assez.

Je vous annonce donc le plus sérieusement du monde la fin de M. PITOU et de son carnet Qu'on se le dise !

Même sort pour mes deux autres carnets, OMQ et Non merci pas de...

Ce n'est pas évident à annoncer car j'aimerais qu'on me comprenne bien. Ça fait au minimum un an que j'ai l'impression de radoter. Peut-être plus. C'est simple. Demain, dans un mois, ou un an, ce qui fait la UNE aura déja été commenté ici. Amusez-vous. Cherchez dans Qu'on se le dise ! avec Google, et vous trouverai une ou plusieurs opinion(s) que j'ai déja écrit sur le sujet !!!

Il est temps que je prenne soin de moi un peu. Ma campagne de financement m'a rendu extrèmement pauvre financièrement, mais très riche moralement. Je ne la lâcherai pas, juste pour ça. Mais j'ai comme projet à court terme de devenir consultant, conférencier, motivateur, etc. Et c'est la dessus que je travaillerai dans les prochains mois.

C'est fini pour moi de suivre intensément une actualité aussi redondante. Je continuerai de la suivre bien sûr, mais pas comme dans les quatres dernières années. J'écrirai de temps en temps un billet pour le Refuge des libres penseurs, parce qu'il faut bien que je me défoule. Ça me surprendrait qu'on me censure dans ce carnet que j'ai créé physiquement, et où j'y ai un droit de véto... :-)

Je trouve que 1500 billets c'est beaucoup et je me félicite. Je sais qu'il y a certains lecteurs qui ont vraiment aimé ce carnet. Merci beaucoup car c'est uniquement à cause de vous qu'il y a 1500 billets ici. Parce que l'actualité est plus souvent qu'autrement, extrèmement déprimante, il faut être un peu fou pour commenter tout ça... gratuitement !

Les mongols de la convergence envahissent présentement ce merveilleux monde que sont les blogues. La population décèlera assez rapidement l'insipidité légendaire.

Après, s'il y a lieu, je reviendrai...

Vous avez connu, en lisant ce carnet, un côté de ma personnalité. Enragé.

Je suis malgré tout, profondément en amour avec cette planète et ses êtres humains. Et encore plus avec les enfants de ceux-çi...

J'aime aider les gens. Mon prochain carnet, qui existe déja, vise ce but. Mais comme c'est pas assez clair dans ma tête, j'attend avant de le publiciser. Évidemment qu'il n'y aura pas un 1501ième billet pour publiciser la chose. Ça se fera dans les commentaires de ce 1500ième.

Pour conclure, ce n'est pas tellement compliqué. Ça se résume à un mot... Merci. Merci de m'avoir lu pendant ces 4 dernières années. Vous êtes franchement sympa !
 
lundi, mai 01, 2006
  Prédiction qui ne m'appartient pas...
...

Jean Charest démissionnera du PLQ . Il invoquera des problèmes de santé dans sa famille proche...

Cette prédiction ne m'appartient pas. Je l'ai entendu durant la course à la chefferie du PQ, et l'idée me hante depuis ce temps !
 
  Réponse à plusieurs questions...
Je n'ai jamais rien lu de plus troublant dans les cinq dernières années. Sérieux. Ça explique tout. Ce texte là...(G.V.)
***
Aujourd’hui, samedi 29 avril, le chroniqueur du Devoir Louis Cornellier conclut sa revue du dernier livre de Claude Morin en déclarant qu’il le considère toujours comme «un grand Québécois». Dans son article, Cornellier cite certains des arguments que j’avance dans mon livre L’autre histoire de l’indépendance, mais il en omet d’autres fort importants que je rappelle dans l’article qui suit à paraître dans l’édition de juin de l’aut’journal.

Le consultant à honoraires

par Pierre Dubuc

Aux journalistes qui lui demandaient: «Si vous n’étiez pas un informateur rémunéré de la GRC, comment qualifieriez-vous votre relation avec les services secrets canadiens? » Et Morin de répondre : «J’étais quelque chose comme un consultant à honoraires».

Le Québec tout entier aurait dû s’écrouler sous un rire homérique. Mais non !, notre «consultant à honoraires» a fait le tour des médias pour mousser les ventes de son dernier ouvrage L’affaire Morin, légendes, sottises et calomnies. On a espéré en vain qu’à l’émission Tout le monde en parle un Chapleau se lève, lui tire les rouflaquettes en lui disant : «Voyons, Claude, c’est une joke!»

Car, pour sa défense, Claude Morin n’a rien de plus consistant à offrir que le témoignage d’agents de la GRC et des ex-premiers ministres canadiens Trudeau et Chrétien. L’ancien directeur de la GRC Donald Cobb aurait déclaré à la journaliste Josée Boileau : «Jamais M. Morin n’a agi contre le Québec». Un obscur agent, du nom de Gilbert Albert, est allé encore plus loin. Au journaliste Yves Boisvert de La Presse, il confiait ce secret d’État : «Morin n’a jamais été un vrai informateur. Le contrôleur était contrôlé par Morin.» J’imagine qu’on doit se rouler par terre dans les bureaux de la GRC.

Mais Morin en remet. Il écrit que «la GRC a agi de son propre chef» et que «pour une rarissime fois de ma vie, je suis d’accord avec Trudeau et Chrétien qui ont déclaré à la télévision n’avoir jamais rien su de l’affaire».

Dans son livre inutile – puisqu’il ne nous apprend rien de nouveau – Morin s’amuse à chercher à miner la crédibilité de Lorraine Lagacé – celle qui a informé René Lévesque de ses activités secrètes avec la GRC – et l’éthique journalistique de Normand Lester en montant en épingle des contradictions mineures. Mais l’essentiel des faits demeure.

Claude Morin a reconnu et reconnaît toujours avoir eu des contacts dès 1951, alors qu’il était étudiant, avec l’officier Raymond Parent du bureau de la GRC à Québec. Il admet avoir rencontré à nouveau Raymond Parent au printemps de 1966, puis en 1967 et 1969. Plus tard, à l’été 1974, il rencontre, alors qu’il est membre de l’exécutif national du Parti Québécois, l’agent Léo Fontaine à au moins 29 reprises. Claude Morin accepte d’être rémunéré. Il touche de 500 à 800 dollars par rencontre. Puis, en 1977, le Parti Québécois au pouvoir, il poursuit ses contacts avec la GRC. Son nouveau contrôleur est Jean-Louis Gagnon qui deviendra directeur adjoint du Service canadien de renseignement et de sécurité (SCRS).

Morin essaie de justifier sa démarche en disant qu’il voulait savoir ce que les services secrets tramaient contre l’État québécois et, plus tard, contre le Parti Québécois. Il affirme que les services secrets étaient préoccupés par l’infiltration étrangère, surtout française, dans les affaires intérieures du Canada.

Morin réplique à plusieurs affirmations accessoires de Normand Lester, mais évite soigneusement de répondre à cette révélation cardinale, soit que Raymond Parent n’a jamais fait partie du contre-espionnage, mais était plutôt un spécialiste de la lutte contre «la subversion communiste et séparatiste», qu’il était un homme de la section antisubversive.

Des documents rendus publics ont dévoilé que Raymond Parent était un des signataires de la note secrète autorisant le vol par effraction des listes de membres du Parti Québécois le 9 janvier 1973 dans le cadre de l’Opération HAM. Dans son témoignage devant la Commission MacDonald, le chef des services secrets canadiens, John Starnes, dira que l’espionnage politique du mouvement nationaliste émanait d’une requête du cabinet Trudeau datant du 19 décembre 1969.

Claude Morin jure de ses grands dieux qu’il n’a jamais révélé aucun secret du Parti Québécois à la GRC et qu’au contraire il s’est surtout employé lors de ses rencontres avec Léo Fontaine à disculper les militants que la GRC avait à l’œil.

Dans l’analyse approfondie que nous avons faite de l’affaire Morin dans notre livre L’autre histoire de l’indépendance, nous avons émis l’hypothèse que la relation fonctionnait en sens inverse, que c’est la GRC qui informait Morin, qui lui donnait le nom des militants qui risquaient de faire avorter sa stratégie étapiste.

Dans la narration qu’il fait de cette première rencontre avec Léo Fontaine dans son autobiographie politique Les choses comme elles étaient, Claude Morin écrit que ce dernier s’enquiert des chances de succès de sa proposition référendaire à la veille du congrès de novembre 1974 du Parti Québécois. «Les gauchistes ne feraient pas avorter le projet?, lui demande Fontaine. Pour lui, je risquais beaucoup car, encore une fois, il estimait les « gauchistes » fort puissants».

Claude Morin poursuit dans Les choses comme elles étaient : «M. Fontaine voulut ensuite me mette au courant, pour ma gouverne personnelle et aussi pour savoir à quoi s’en tenir à leur sujet, des noms de quelques suspects qui, selon lui, étaient CONSCIEMMENT OU NON téléguidés par l’extérieur, dans ce cas, par la France. » Au cours des rencontres subséquentes, Léo Fontaine avait toujours, nous dit Morin, «sa liste de suspects, des Français pour la majorité, quelques Québécois et une poignée de ressortissants d’autres pays. Une dizaine de noms au début, puis avec le temps, une trentaine».

Dans son nouvel ouvrage, Morin en rajoute. Il nous dit aujourd’hui que parmi ces personnes, il y avait des «vedettes péquistes naissantes, contestataires automatiques et parfois agaçants à chaque réunion du Conseil national du Parti Québécois, ainsi que des permanents syndicaux et responsables d’organismes communautaires».

Était-ce seulement des noms de personnes qui représentaient des risques pour la sécurité nationale, ou ne constituaient-ils pas également des risques pouvant faire avorter la stratégie étapiste de Morin? Que faisait Morin de ces noms, lui qui menait la lutte contre la «go-gauche» au sein du PQ ? Lui étaient-ils utiles pour isoler les opposants à ses projets? L’identification de ces personnes par la GRC avait-elle été établie à partir des listes de membres volées dans le cadre de l’Opération HAM ?

En réponse à notre livre, Morin s’indigne que nous l’ayons accusé d’avoir emprunté la stratégie référendaire aux fédéralistes. Il ne peut évidemment nier que l’idée de la tenue d’un référendum lui soit venue d’une discussion avec de hauts fonctionnaires fédéraux, puisque nous nous étions appuyé sur un extrait de son livre Mes premiers ministres pour l’affirmer.

«L’idée du référendum, écrit-il dans ce livre, me fut involontairement suggérée en 1969 par trois personnalités renommées de l’establishment politico-technocratique anglophone fédéral. » Il mentionne le nom, entre autres, de Gordon Robertson, secrétaire du cabinet fédéral.

Aujourd’hui, Morin évite soigneusement de dire que Gordon Robertson était en 1969 co-responsable avec Marc Lalonde des services de renseignements parallèles mis sur pied par le cabinet Trudeau pour lutter contre le séparatisme.

Dans L’autre histoire de l’indépendance, nous avons examiné dans le détail toutes les péripéties des efforts de Morin pour imposer la stratégie référendaire au Parti Québécois et affirmé que celle-ci s’inscrivait parfaitement dans le plan fédéral pour contrer la souveraineté. Les fédéralistes savaient pertinemment que le Parti Québécois, devenu l’Opposition officielle en 1973, accéderait inévitablement au pouvoir et que cela signifiait l’indépendance du Québec comme le stipulait alors son programme. La seule stratégie qui s’imposait était de gagner du temps, ce qu’offrait l’étapisme défendu par Claude Morin.

La principale ligne de défense de Morin est d’invoquer son apport à titre de fonctionnaire, puis de ministre, à la consolidation des pouvoirs du Québec. Un fait indéniable. Comment cela peut-il se conjuguer au fait qu’il ait été un agent secret de cet État qu’il combattait ?

Il l’exprime en cherchant noise à Normand Lester. «Ou bien, ainsi qu’il (Lester) l’avance, j’avais été « l’œil d’Ottawa au sein du gouvernement du Québec », ou bien, autre citation de lui, j’avais joué « un rôle capital dans la politique d’affirmation du Québec dès 1960 ». Deux affirmations qui s’excluent mutuellement telles quelles. On est traître ou on ne l’est pas. »

L’explication politique, avons-nous soutenu dans L’autre histoire de l’indépendance, réside dans le fait que Claude Morin était, avant d’être un agent de la GRC, un agent de la CIA. Nous écrivions : «La consolidation du pouvoir québécois, dont Claude Morin a été un des architectes, pouvait facilement s’inscrire dans la perspective états-unienne de renforcement du pouvoir des provinces canadiennes pour freiner les velléités d’indépendance du gouvernement central à l’égard de Washington». Morin cite ce passage, le présente comme «flyé», mais n’y oppose aucun argument.

Dans Les choses comme elles étaient, Claude Morin raconte, lorsque Léo Fontaine le contacte pour la première fois, son intérêt pour les relations de collaboration qui existent entre la GRC et la CIA. La réponse de Morin à Fontaine, lorsque ce dernier lui demande si par hasard il ne connaîtrait pas quelqu’un à qui la GRC pourrait se fier, est très révélatrice. «Je lui répondis en boutade, écrit Morin, que le mieux serait pour lui de mettre la main sur un des agents que la CIA avait déjà probablement placés dans le PQ et à l’utiliser aussi pour les fins de la RCMP!».

Ce n’était pas une boutade. Et cet agent était Claude Morin.
 
samedi, avril 29, 2006
  Faut le faire...
Non le voleur n'est pas encore interné, mais il fait encore l'actualité...

Vincent Lacroix affirme maintenant que lui et les autres dirigeants de Norbourg n'étaient pas assez compétents. « Il n'y avait personne qui avait des compétences dans le domaine. C'est un domaine très complexe, les fonds mutuels. Nous aurions dû rester dans ce que nous faisions de mieux, la gestion de portefeuilles », explique l'ex-président de Norbourg.

Je commence à songer sérieusement à devenir membre d'un parti politique. Mieux, je devrais devenir membre de tous les partis politiques. Avec un peu de "bénévolat" bien placé, moi aussi je pourrais avoir ma place parmi ces grands hommes...


 
  M. Orwell, je vous déteste !
Vous êtes un fumiste. Ce n'est pas un roman que vous avez écrit en 1948...

Cette semaine on apprenait que le gouvernement Charest voulait ré-écrire l'histoire du Québec, ce qui est déja très "1984". On sait aussi que Harper à Ottawa, a quelques difficultés à comprendre(sic) le travail des journalistes, ce que confirme le Commissaire à l'information...

Stephen Harper avait promis plus de transparence lors de la campagne électorale, c'est plutôt tout le contraire qui est en train de se produire, selon le Commissaire à l'information du Canada, John Reid. Dans un rapport déposé au Parlement vendredi, M. Reid déplore sévèrement le manque de transparence du gouvernement de Stephen Harper.

Le Commissaire s'en prend vertement au projet de loi sur la responsabilité que le gouvernement conservateur a déposé le 11 avril dernier. Selon lui, ce projet de loi aura comme résultat de réduire la quantité des informations accessibles au grand public et donc, d'amoindrir la transparence.

Par exemple, il reproche à Stephen Harper de vouloir maintenir secrets à jamais tous les documents liés aux enquêtes sur les agissements répréhensibles du gouvernement, alors qu'en ce moment, ces documents ne sont protégés que pendant cinq ans.

Bref, il écrit que les conservateurs ont proposé les modifications les plus rétrogrades et les plus dangereuses à la Loi sur l'accès à l'information depuis son entrée en vigueur, en 1983
.

Ceux d'entre vous qui n'auraient pas lu le livre 1984 devraient s'y mettre au plus tôt. Vous n'auriez plus besoin de vous informer... ni de lire ce carnet. Dans ce roman qui n'en est pas un, publié en 1948, monsieur Orwell a tout bien expliqué !
 
vendredi, avril 28, 2006
  La fin du monde à 18 heures !

Écouter un bulletin d'information à TVA, c'est comme assister à un spectacle. Un spectacle minable, mais un spectacle quand même. Bonne nouvelle Henri, l'hélico est prête. Ne manque plus que le sang...

M. à J.29/04/05: Un remède(sic) ayant été découvert, la "fièvre" est à la veille de n'être plus qu'un douloureux souvenir. Si la tendance se maintient, les médias vont bientôt devoir se trouver un nouveau sujet pour délirer !

C'est quand même assez fascinant. C'est clair et net que cette fièvre est une pure fabrication médiatique. Les médias ont tellement brassé la sauce, que certains voyaient déja la coupe parader sur la rue Ste-Catherine !
 
  Convergence, comme dans convertir en dollars !
Je n'ai absolument rien d'un cinéphile, je ne lis que très rarement les critiques de film et je ne connais pas Helen Faradji. Ceci étant, ça ne sent jamais très bon chez Quebecor Media...

« Devant l'insistance des foules, voilà le pourquoi du comment du "ferme ta gueule, va-t'en chez vous" que m'a gentiment dit le ICI.

Dans les dernières semaines, un nouvel éditeur (ancien du Journal de Montréal et d'Echos-Vedettes) a été nommé au ICI dans l'idée de "relancer" le journal. Or, selon lui, j'avais montré trop de réticences à ses plans de relance en étant "trop intellectuelle et pas assez populaire".

Voilà, c'est aussi simple que ça.

Que dire de plus? Ma maman m'a appris à toujours essayer de rester polie. »

Helen Faradji, Arrête ton cinéma !

G.V.: Le fric ma petite dame. Y faut penser fric. FRIC, MONEY, BIDOU... s'tu clair mon choux !
 
  Voir, le pédant.
Moi les pédants, les snobs, ceux qui pensent qu'ils sont supérieurs parce qu'ils font partie d'une élite artificielle, ça me constipe royalement. Non je ne parlerai pas de Denise Bombardier dans ce billet mais plutôt de son homonyme masculin, Richard Martineau.

Pas longtemps, juste le temps de démontrer comment peut penser une tête enflée.

« Vous voulez avoir un blog ou écrire dans un magazine? Si oui, j'ai un conseil pour vous: n'utilisez JAMAIS l'ironie. La plupart des gens ne savent pas ce que c'est (...) Bref, évitez l'ironie comme la peste. Parce que pour comprendre l'ironie, faut faire un petit effort de lecture, lire entre les lignes. Or, pour la majorité des gens, tout ça est trop exigeant... »

Il est un grand intellectuel ce Martineau. Il fait un petit effort. Il ne fait pas partie de la plupart des gens qui ne savent pas ce que c'est, lui. Il sait lire entre les lignes. Il fait les efforts qui, pour la majorité des gens, tout ça est trop exigeant. Quel homme. Non mais, qu'on me le béatifie. Dieu des scribes, fait quelque chose !!!

Ça doit pas être drôle à "transporter", tant d'intelligence, tant de génie. Peut-être qu'il en laisse un peu (beaucoup ?) à la maison avant de partir travailler. C'est pas drôle d'avoir à affronter la maudite majorité (de cruches) qui ne comprendra jamais rien !
 
  Ne riez pas, ça pourrait être le vôtre !
Ou comment peut-on être aussi cinglé ?

Des condamnés à mort "étatsuniens" conteste l'injection létale. Il semblerait que c'est très douloureux. Même que...

« Jusqu'à maintenant, les juges ont posé beaucoup de questions sur la procédure et sur la douleur qu'elle causerait. Ils se sont aussi demandé pourquoi l'État de la Floride interdit de tuer les chiens et les chats avec les médicaments qu'on utilise pourtant pour exécuter les condamnés. La procureure de la Floride n'a jamais répondu à cette question. Elle a aussi été incapable de dire pourquoi l'État ne se contente pas d'une seule dose fatale de sédatif. »

Ils sont fous ces humains !

 
jeudi, avril 27, 2006
  Oui, non, peut-être ?
Le billet qui avait été écris ici est disparu... dans Le refuge des libres penseurs. Même titre, même bon goût.

Les commentateurs(3) et leurs commentaires(4), ont aussi été transférés, dans l'ordre...

C'est vrai que ça n'avait pas d'affaire ici, vous verrez... :-(
 
  À dormir debout !
De l'au-delà...

St-Pierre: Salut Dieu, je te déranges...
Dieu: Non, j'étais en train de prendre une bière.
St-Pierre: As-tu lu les dernières nouvelles ?
Dieu: Tu sais bien que je n'ai pas besoin de lire les nouvelles puisque c'est moi qui ai créé le monde.
St-Pierre: Oui mais c'est super drôle...
Dieu: Il ne faut pas prendre tout au sérieux. Comme aujourd'hui par exemple, j'ai décidé de faire rire le monde entier... Des religieux se rassembleront jeudi à Washington pour prier publiquement afin de faire baisser le prix de l'essence, a annoncé l'organisation américaine de prière en ligne Pray Live.
St-Pierre: Est bonne en criss...

Dieu: T'as probablement pas lu l'histoire terrifiante que vit Denise Bombardier, dans le Journal de Montréal aujourd'hui, tu rirais plus.
St-Pierre: ???
Dieu: Bah oui. Je me suis arrangé pour que Denise Bombardier trouve une autre façon de se ridiculiser.
St-Pierre: Dieu... franchement !!!
Dieu: Hi,hi,hi... « Denise Bombardier est exténuée. Non pas à cause de son boulot, qu'elle adore, mais parce qu'elle doit vivre avec les violents courriels de menaces qu'elle reçoit.»
St-Pierre: Dieu, tu bois trop. Je ne vois pas du tout ce qu'il y a de drôle dans des menaces de mort.
Dieu: St-Pierre, tu bois pas assez. Elle n'a qu'à ne pas lire ces courriels, tout simplement.
St-Pierre: Qu'est-ce qui est drôle d'abord ?
Dieu: Elle dit qu'elle
laisse son mari ouvrir ses courriels dans un premier temps. Elle les regarde après coup. Ça fait moins mal.
St-Pierre: C'est de la torture mentale !!!
Dieu: C'est pour ça que je ris. Imagine... Elle se dit intellectuelle, elle se pense intelligente, mais elle se torture mentalement. La pognes-tu ?
St-Pierre: Pfffff... s'cuse... pppppppffffffffffffffff....

Dieu: Ouin... pas vite, pas vite. Tu dors aujourd'hui ?
St-Pierre: Non, j'écoute la télé
Dieu:
C'est ce que je disais, tu dors.
St-Pierre: Puisque t'es si fin, ça va finir comment ton histoire ?
Dieu: Comme ça. Quoiqu'une histoire d'adultère impliquant Denise Bombardier et Richard Martineau, ça pourrait être assez rigolo...
St-Pierre: Dieu, tu bois trop !
 
  La question Qu'on se le dise !
...

« Eric, je suis dû pour la prison. J'ai joué dans les comptes en tabarnak... »

L'homme qui a fait cette déclaration se nomme Vincent Lacroix. Pourquoi cet homme n'est-il pas déja en prison ?
  1. Ses bons amis politiciens, qui ont copieusement profité de la fortune du type, le protègent.
  2. Ses bons amis politiciens, qui ont abondamment profité de la fortune du type, le protègent.
  3. Ses bons amis politiciens, qui ont grassement profité de la fortune du type, le protègent.
  4. Toutes ces réponses.
Tabarnak, ce n'est qu'un mot de 8 lettres. Mais quand on dit en tabarnak au Québec, y'a que les anglais qui ne savent pas ce que ça veut dire. Dans ce cas-çi, on pourrait certainement dire que énormément est un synonyme approprié. Et ce n'était pas son argent.

Cette nouvelle était disponible mardi soir à RDI, elle fût oublié très tôt hier, toujours à RDI. Les autres médias n'ont pas relancé.

On parle de 133 millions de dollars. Lacroix s'est amusé avec cet argent comme si ça lui appartenait. Il a contribué à des caisses électorales. C'est là qu'il faut chercher pourquoi ce gars-là n'est pas encore en prison.

Mais on ne le fera pas parce que les nouvelles prisons, promises par Harper, ne sont pas prêtes à l'accueillir, lui et tous ses amis !
 
mercredi, avril 26, 2006
  La question qui tue...
 
  En vente... oups... En manchette...
Je pensais à un présentateur de nouvelle qui annonce de quoi sera composé son bulletin quand j'ai eu l'idée de ce titre. Parfois on achète de l'information, et parfois on nous en vend. Celles qu'on nous vend n'est pas nécessairement celles qu'on voudrait payer, même si on n'a pas le choix...

J'ai encore une fois, beaucoup de temps pour écrire dans ce carnet car je ne travaille pas cette semaine. J'ai actuellement 7 onglets ouverts, contenant 7 informations que j'aurais le goût de commenter.

Non, non, il n'y aura pas 7 billets de plus dans ce carnet aujourd'hui. Je me préoccupe de votre moral... même si ça ne parait pas !

Dans le désordre...
  1. Êtes-vous content de savoir que le Canada a aussi son Guantanamo ? Je n'ai pas remarqué de changement notable dans ma personnalité, mais je suis convaincu qu'on m'américanise de l'intérieur. Je promet de lancer une alerte dans ce carnet dès les premiers signes de dermatose, ou autres. J'ai franchement peur d'attraper la grippe "Harper".
  2. On apprend aujourd'hui en lisant Nuovo qu'heureusement qu'il y a dans notre société, à l'heure qu'il est, des artistes pour prendre la parole, revendiquer nos droits collectifs et questionner l'État et les chefs politiques sur leurs dérives parce que sinon, il n'y aurait personne. En effet M. Nuovo. Il n'y aurait personne... ni de journalistes pour qui ça devrait être, en principe, le travail. Mais bon. Avant, il y a beaucoup de fleurs et de jardins à commenter.
  3. Henri-Paul Rousseau serait sous-payé. C'est vrai que de nos jours on ne va pas chier loin avec $450 000 par année. On dit qu'il reçoit moins que ses vice-présidents. On ajustera... en haussant le salaire de Rousseau, plutôt qu'en diminuant celui des autres. Non mais quoi ? On vient d'augmenter le salaire minimum de 15 cents. Il faut bien qu'il y ait une justice pour tout le monde !
  4. Celle-là, elle est très drôle... Un présentateur de Fox News futur porte parole de la Maison-Blanche. Fallait bien qu'il aille à l'école avant.
  5. Le fondateur d'Enron blâme les médias pour les problèmes qu'a vécu sa compagnie. Ça me rappelle que Vincent Lacroix n'est toujours pas en prison, au moment où j'écris ces lignes.
  6. Martin Lemay rentre à l'Assemblée nationale avec de belles intentions. Il promet de consacrer ses énergies à la promotion de la souveraineté. Son chef aussi a fait la même promesse à ses débuts, mais là, il ne s'en rappelle plus.
  7. Tout juste avant d'être éjectés du parlement, les amis de Jean Pelletier lui ont dégoté un dernier petit $40 000, pour se défendre de nous avoir commandité. Le gâteau débordait un peu et quelqu'un y a juste mis le doigt. Pourquoi je parle de ça ?
 
  Solitude dites-vous M. Cloutier ?
Jean-Pierre Cloutier, auteur des chroniques de Cybérie et aussi détenteur d'un blogue, que je qualifie personnellement de "politiquement correct", a signé un texte hier qui m'a un peu rendu mal à l'aise.

Il y a des blogues que j'aime beaucoup, d'autres moins et je ne vous cacherai pas que celui de Cloutier fait partie de la deuxième catégorie. Je ne lis pas tous ces textes et je ne commente jamais ceux que je n'aime pas, ou que je trouve un peu "fefi". Mais là, son billet, Deux solitudes, me chatouille un peu plus qu'à l'accoutumé.

M. Cloutier s'insurge avec raison du fait que Michel Vastel a été un peu prétentieux dans un court billet où il faisait la publicité du nouveau blogue(sic) de son collègue Michel Auger. C'est vrai que Vastel a un peu déconné quand il écrit que Six mois exactement après que ce magazine ait mis en ligne le premier blogue politique du Québec, voilà que la concurrence se réveille

Là-dessus en effet, Vastel déconne. Car ce n'est pas vrai que L'actualité a mis le premier blogue politique en ligne. Des blogues politiques se créaient pendant que les collègues de Vastel tentaient de diminuer leurs importances, avant de joindrent le groupe !

Là ou le billet de Cloutier me dérange vraiment, c'est quand il énumère les blogues oubliés par Vastel. Il s'en sort bien en finissant son paragraphe avec
pour ne mentionner que ceux-là. Sauf que M. Cloutier agit exactement comme celui qu'il dénonce. M. Cloutier est toujours là pour mousser les blogues de sa confrérie, même quand le dit blogueur n'a encore écrit aucun texte.

Mais il n'a jamais depuis qu'il blogue, parlé de Tout et de rien, tout comme de ce carnet que vous lisez présentement. Pensez-vous sérieusement que M. Cloutier ne nous connait pas ?

Il écrit dans son billet... Cette prétention, faute d’autre mot ou d’envie d’être plus méchant, n’illustre-t-elle pas deux solitudes, soit celle des journalistes patentés et des blogueurs?

Être méchant, c'est un peu ma spécialité.

Les lecteurs réguliers savent que je ne me gêne pas, habituellement. Je ne ferai pas d'exception cette fois-çi en osant demander à M. Cloutier qu'est-ce qu'il trouve d'intéressant à la Tribu du verbe ou à Verstehen ? Et que fait le premier blogue de André Boisclair dans ce même paragraphe ou le scribe mentionne les blogues politiques, nés avant celui de Vastel.

Je pense personnellement que ladite tribu est tenu par un fumiste. Et Verstehen ? Je ne la connaissais pas avant ce billet de Cloutier. Mon avis ? Pas assez intéressante pour être dans mes marque-pages. Vous pouvez toujours essayer. Mais la goutte, c'est le blogue de Boisclair.

Permettez M. Cloutier ? Tabarnak... c'est quoi l'idée de faire la publicité d'un tel connard. Vous habitez où, SACRAMENT ?

Bon, je vais tenter de redevenir calme.

C'est vrai M. Cloutier qu'il n'y a pas que deux blogues politiques au Québec.

Non mais...

Vous écrivez quelque chose de très intelligent ici... Les journalistes des médias traditionnels adoptent pour modèle le comportement de leurs collègues étasuniens : d’abord ignorer le nouveau phénomène, ensuite dénigrer ceux qui en font partie, négocier leur propre transition pour enfin arriver en phase d’acceptation.

Continuez de faire comme eux M. Cloutier. Ne parlez jamais de nos carnets. Vous ne dénigrez pas mais vous ignorez. C'est pareil.

Dans l'ordre ou le désordre, vous aussi arriverez un bon jour... à votre phase d'acceptation !
 
mardi, avril 25, 2006
  Oyez... oyez !
On peut gagner quelque chose à lire un chien...

Oui, oui, c'est virtuel mais... trouvez l'auteur de cette déclaration et gagnez la prison qui enfermera tous ces gens là !

« Eric, je suis dû pour la prison. J'ai joué dans les comptes en tabarnak... »

C'est facile.

On en parle dans les bulletins de nouvelles à RDI pour le moment. Ça se peut que le sujet ne soulève pas autant le débat que Guy Cloutier. Mais on est en droit de se demander comment il se fait que ce gars là n'y soit pas déja, en prison !
 
  La "chaleur" de l'électorat fait bouger le pantin...
Tandis que son assistant-gérant fait le mort !

Je viens d'entendre que Bush aurait pris quelques mesures au sujet du prix de l'essence, comme par exemple une enquête... À la demande de la Maison-Blanche, les autorités fédérales américaines vont examiner en détail les mécanismes de fixation des prix de l'essence.

Examiner en détail ? Non mais c'est pas sérieux ? Il n'y a rien à examiner. La réponse à toutes ces questions, elle est dans la nouvelle... Depuis l'arrivée au pouvoir de George W. Bush, voilà maintenant cinq ans, le prix de l'essence aux États-Unis a littéralement doublé.

C'est drôlement bien organisé les choses, quand média et finance ne font qu'un. On monte l'essence de 25% plus tôt que d'habitude, et tous les "experts" nous disent que c'est normal. Et après, on lance une enquête.

Ça ralentit un peu la hausse, ce qui n'est pas une mauvaise nouvelle. Mais ça ne changera rien aux profits des pétrolières, puisqu'elles ont augmenté les prix plus tôt que d'habitude. Les profits sont juste étalés.

Ceci étant je me croise les doigts. Il se peut que le prix de l'essence ne soit pas aussi élévé que prédit, car les républicains de Bush affrontent l'électorat cet automne. J'aimerais vraiment que les démocrates gagnent ces élections. Ça leur permettrait d'enquêter sur l'administration républicaine.

Et l'assistant-gérant, y fais quoi dans ton texte ?Il fait le mort... et/ou les cache.

Il ne fera rien puisque le prix du baril baisse présentement(ca baisse moins vite à la pompe). Ça doit aider que son ami fasse semblant de faire quelque chose. Mais même s'il fait le mort, il n'en est pas moins occupé.

Non mais quoi ? On ne transforme pas le Canada en franchise des États-Unis en se tournant les pouces !
 
  Méchant paradoxe...
Les médias et les partis d'opposition montent aux barricades aujourd'hui au sujet des soldats rapatriés. C'est la première manchette du bulletin de nouvelle de 15:00 à RDI...

On crie haut et fort parce que Harper ne veut pas qu'on voit ces soldats, mais ça ne dérange personne que ces soldats meurent là-bas sous de fausses représentations.

?!?
 
  Ces magouilles qui ne font pas souvent la UNE !
Je sais, je sais, il y a beaucoup de choses à lire sur le web, dont ce carnet... :-)

Mais...

Je viens de lire un très bon texte dans Le Devoir. Un très, très bon texte... pas signé par un journaliste. Roy Dupuis, l'acteur, se demande si ses questions dérangent...

« Si j'ai cofondé et si je copréside la Fondation Rivières, c'est que je connais les enjeux entourant l'aménagement des rivières du Québec. Et, contrairement à ce qu'Alain Dubuc (La Presse, 8 avril 2006) et Jacques Brassard (Le Quotidien, 5 avril 2006) laissent entendre dans leurs éditoriaux, la Fondation Rivières est un organisme réunissant non seulement des artistes, mais également des citoyens de l'ensemble des régions du Québec et des spécialistes d'une multitude de disciplines : biologie, ingénierie, énergie, environnement, droit, éducation et politique. »

Si Dubuc et Brassard tente de discréditer cette fondation, c'est bien certain que c'est parce que les questions posées, dérangent vraiment.

Vous ne connaissez pas ce dossier ? Lisez le texte. Roy Dupuis pose de bonnes questions. Des criss de bonnes questions !
 
lundi, avril 24, 2006
  J'aime pas plus le hockey qu'il n'en faut, mais j'aime bien rigoler...
C'est assez fascinant de suivre nos héros en direct à RDS. Ils viennent de se faire marquer 4 buts sans riposte, et les commentateurs commencent déja à parler d'un revirement majeur dans cette série...

Ces commentateurs sont vraiment super drôle. On se croirait à un gala "Juste pour rire" !

21:13 Nos héros viennent d'en mettre deux dedans. C'est maintenant 5 à 4...

21:32 Enormément de confusion sur la séquence... dixit un commentateur.

21: 34 Le tir et le but. C'est 5 à 5...

21:37 Fin de la troisième période.

21:39 Jacques Demers considère que Saku Koivu n'a pas joué à la mesure des attentes. On sent l'ex-entraineur analphabète, un peu hystérique. En tout cas, il y met toute la gomme...

21:41 Il faut que j'aie vraiment du temps à perdre pour commenter un match de hockey dans ce carnet...

21:46 Il ne se passe rien. Autrement dit, l'entracte n'est pas des plus intéressante pour un "inamateur" de sport...

21:52 C'est reparti...

21:55 Les Hurricanes vont composer en infériorité numérique... dixit le même commentateur que plutôt !

21:59 Huet saisi une rondelle libre...

21:59 Je vais pisser. Non mais quoi ? C'est en direct...

22:02 Beau jeu de la part de Kovalev...

22:05 On l'a devancé du côté droit...

22:07 Bulis avait la victoire au bout du baton...

22:07 Riberro... et le buuutttt. Je m'excuse...

22:10 On a bien protégé la zone dangereuse devant Huet...

22:13 C'est bloqué devant le filet...

22:15 Et voilà le sifflet... pénalité Canadien.

22:20 Pénalité Caroline...

22:21 Saku Koivu n'a aucun tire au but ce soir...

22:24 On ira en deuxième période de prolongation...

22:25 Je regrette un peu d'avoir commencé ce billet...

22:40 Deuxième prolongation...

22:42 Et le buuuutttt...

22:43 Bonne nuit !
 
  Un Canada en marche militaire... avec le Bloc !
Je n'ai aucune objection à ce que le Bloc utilise le titre de ce billet comme slogan lors de la prochaine campagne électorale...

" Cela fait un bout de temps que l'on dit que c'est une mission dangereuse. C'est déplorable. Nous avons offert nos condoléances aux familles. Mais il faut s'attendre à des pertes humaines. Cela ne change pas le but de la mission. Nous ne pouvons pas permettre aux talibans de revenir au pouvoir, de rouvrir des camps terroristes et de planifier en toute paix de conscience des attaques contre les capitales occidentales. Il faut vraiment stabiliser la situation dans ce pays. " (Claude Bachand, député du Bloc)

Ça fait drôle de voir un député du Bloc adopter quasiment la même propagande que le premier ministre du Canada. " Ces soldats travaillaient à offrir au peuple afghan sécurité, démocratie, autonomie et prospérité, et à protéger la sécurité des Canadiennes et des Canadiens."

Les soldats canadiens en Afghanistan sont en guerre, pas en mission.

Mais pour qu'on l'oublie, on nous parle de sécurité, de terroristes, de démocratie... et de mission. Et on appelle ça de l'information.

En tout cas, c'est raconté très sérieusement par des lecteurs de nouvelles, à qui on donne de très bons salaires pour nous maintenir dans l'ignorance. Et ça fait aussi, la UNE de tous les journaux.

Il semblerait que le représentant du Bloc, comme la majorité de la population, n'y voit que du feu.

C'est vrai qu'avec un salaire minimum de $147 000 par année, pour un métier tel que "député du Bloc", il serait surprenant que ce député et ses amis commencent à "voir" les vraies affaires.
 
samedi, avril 22, 2006
  Gouré... en direct !
Le 1'er match vient tout juste de se terminer. Je dois faire un méa-culpa pour ma prédiction erroné...

J'avais prévu que nos héros se feraient planté en 4. J'ai erré, ils ont gagné la première...

Nos héros ont des bons "coachs" et des bons "goalers". Huet a encore été très significatif ce soir...

Gouré je suis, mais je vous avais prévenu que le gardien de but pouvait faire mentir ma prédiction.

Nos héros ont souvent gagné la coupe avec un bon gardien. Qu'on pense à Ken Dryden ou Patrick Roy...

Non, non, je n'ai pas dit qu'ils gagneraient la coupe !!!
 
  Soupir...

Le billet du jour ne sera pas très long. Les magnifiques créatures que vous voyez sur cette photo, pourraient ne plus exiter dans 25 ans. Si vous ne voulez pas voir votre moral en prendre un coup, ne lisez pas ce texte...
 
vendredi, avril 21, 2006
  Une bonne nouvelle, enfin !
J'ai parlé récemment, dans un ou des billets, de mon agacement à voir les médias banaliser les blogues, en les envahissant...

Ça m'inquiètait.

Ça ne m'inquiète plus. Et je dois cette "guérison" à Patrick Lagacé, scribouilleur dans la poubelle de Péladeau et détenteur(sic) d'un blogue, dont il fait abondamment la pub dans sa feuille de choux. Le monsieur a découvert que c'était lui Dieu, et qu'il n'y avait que lui qui possédait la vérité.

Vous avez peut-être deviné que ce qui a dissipé mes inquiétudes, ce sont les deux derniers articles qu'il a écrit pour son journal, ainsi que ses commentaires dans son blogue. Si oui, vous avez tout à fait raison.

Si vous prenez la peine de lire ce qu'a écrit cette nouvelle vedette médiatique, vous vous rendrez compte qu'il méprise, vraiment, tout ceux qui n'avalent pas automatiquement les mensonges racontés par les médias. Lui, les théories de complot il connait ça. Je pense qu'il a même l'impression d'être un véritable expert. Sa théorie à lui, parce qu'il en a une, est simple. Très simple, pour ne pas dire tout à fait simpliste.

Si l'histoire n'a pas été diffusée sur Fox et sur CNN, c'est qu'elle n'existe pas, tout simplement.

Ce que j'ai lu dernièrement de ce Lagacé(1,2,3) me prouve que, ce que les individus de ce genre écriront dans leurs blogues, ne sera jamais plus crédible que ce qu'ils écrivent dans leurs journaux. Et comme la population n'est pas aussi imbécile que ces connards voudraient le croire, elle saura comme d'habitude, faire la part des choses.

Et les vrais blogues ressortiront, encore plus forts !
 
jeudi, avril 20, 2006
  Un moment présent...
Si vous avez vu la photo de Stephen Harper, avec un bébé qui lui pincait le nez, hier dans les journaux, vous risquez de vous bidonner pas mal avec la caricature de Garnotte dans le Devoir d'aujourd'hui...

La partie drôle de ce billet est terminée. Que voulez-vous, comme disait un tristement célèbre crosseur professionnel...

Je viens d'apprendre à RDI, que le prix de l'essence était de $1.22 le litre présentement à Montréal. Ça me décourage vraiment. Je vais m'en remettre comme d'habitude, mais je déteste cette impression de me faire fourrer par des criss de riches qui n'en ont jamais assez.

Ce qui me décourage encore plus, c'est que ces criss de riches sont cautionnés par tous les médias. Tous les médias réussissent à nous faire avaler toutes sortes de raisons, toutes plus farfelues les unes que les autres, pour justifier ces hausses.

Pendant ce temps, mon travail est de plus en plus difficile et comme je suis payé au pourcentage, j'écope et pas à peu près. Cette semaine, je devrai mettre dans mon "bazou" au-delà de $150.00 d'essence. Mon dit "bazou" perd justement de ce criss de liquide et je n'ai pas les moyens de le faire réparer.

Vous comprendrez que j'écris ce billet un peu enragé.

Habituellement, je m'en remet assez vite. Un problème n'existerait pas si il n'y avait pas une solution de rattachée. Je ne veux pas quitter mon travail même si c'est très difficile, parce qu'il est utile à la communauté. Et j'aime ça aider des gens. J'ai développé avec les années un talent pour deviner les gens. Un peu comme un tireur de carte. Sauf que moi je le fais gratuitement.

Et ce que je dis à mes "clients" les impressionne assez, pour qu'il me quitte avec une très belle lueur dans les yeux. On ne peut mettre ce moment dans son "bazou", mais c'est chaque fois un très beau moment.

Un des gros problèmes de notre société, c'est que les bonnes personnes ne savent qu'ils sont des bonnes personnes. Ils ne savent pas comment leurs qualités sont utiles à la société. Socrate disait: Connais-toi toi même et tu connaîtras le monde.

Et si ce monde, c'était les autres qui nous entourent ?

Moi je travaille dans la vente et je sais qu'il est extrèmement important de bien connaître ce que l'on vend. C'est la même chose à mon avis, pour un être humain. On doit honnêtement savoir qui on est, pour exploiter encore mieux les talents que nous développons sans le savoir.

C'est très fragile ce qui se passe entre les deux oreilles. Il faut manipuler avec beaucoup de précaution et surtout, ne pas se mentir. Autrement dit, si on vous fait un compliment acceptez-le. Si vous trouvez ça banal, posez vous des questions sur votre propre connaissance de vous-même. Il y a du travail à faire...

Parce que ça se peut de gaspiller un talent. Et demain, c'est trop tard pour être heureux.

J'ai écris plus haut que je me remettais vite de mes colères. C'est encore le cas cette fois. Écrire, c'est très thérapeutique !

P.S. Comme je ne veux pas abandonner mon travail actuel, je songe à devenir consultant à temps partiel. Je pourrais enseigner la vente, aider des gens à traverser leurs "murs", mettre en marché de nouveaux produits, devenir agent d'artiste, aider José Théodore à retrouver sa confiance, etc. Je ne suis pas si mal pris, même si le moment présent est un peu difficile...
 
mercredi, avril 19, 2006
  Arrêtez tout, nos héros font les séries !
Avez-vous attrapé la fièvre des séries ?

Imaginez, l'émission La part des choses, animé par le très sérieux(sic) Bernard Drainville, consacre son émission de ce soir au hockey, et un peu à nos héros nationals, j'ai nommé les Canadiens de Montréal...

On parle aussi des autres équipes canadiennes en lice, que sont Calgary et Ottawa. Et d'autres affaires mais j'écoute pas, j'écris...

L'émission ne m'intéresse pas assez pour que je commente les propos qui y sont tenus. Sauf que je prévois que nos héros se feront planter en 4... et que ce sera probablement un deuil national dans les médias québécois.

La seule chance pour nos dieux de faire mieux que ma prédiction, serait un miracle signé gardien de but. Ça c'est déja vu...

À suivre, et éventuellement un méa-culpa si je me suis gouré !
 
  Emplissez-moi ces cruches...
Êtes-vous content de savoir que l'Iran est plus proche du Québec, que du reste du Canada ?

« Les automobilistes québécois paient toujours un peu plus que l'ensemble des Canadiens pour leur plein d'essence, rapporte la Presse Canadienne. Ainsi, en moyenne, le prix d'un litre d'essence ordinaire se vend, à Montréal, environ 1,14$. C'est 6 cents de plus que la moyenne canadienne, qui se situe à 1,08$. »

Je ne serais pas surpris que Power Corporation détienne des actions dans les compagnies pétrolières. Ce matin, on peut lire sur Cyberpresse un texte édifiant comparant le prix qu'on paye ici, avec celui payé dans les pays européens... Quand on se compare, on se console. Mais pas un mot sur le fait que les Québécois payent plus cher que les autres Canadiens...

La Presse prouve encore une fois qu'elle n'est pas là pour informer, mais pour faire avaler !
 
mardi, avril 18, 2006
  Bulletin spéciale: Julie dit tenir un SCOOP...
J'aime beaucoup le blogue de Julie Bélanger même si je ne partage pas son admiration pour Stéphane Dion. Aujourd'hui, elle dit tenir un véritable SCOOP...

« Au cours de la dernière semaine, dans une toute petite municipalité de rien du tout à côté du Mont-Orford (je serais excitée si on y trouve 1 000 habitants), 22 propriétaires, dont plusieurs fermiers, ont reçu des mains de huissiers des avis d'expropriation! »

Il faudra suivre cette histoire de près. Les propriétaires ont-ils réellement reçu des avis d'expropriation comme le prétend Julie, ou bien ne sont-ils que "réservé" pour le moment, comme le prétend Cyberpresse ?

Dans les prochaines semaines, des représentants du Ministère vont négocier de gré à gré avec les propriétaires..

S'il s'avérait que tu aies raison ma chère Julie, je te promet de revenir avec un billet, juste pour te féliciter !
 
  Piégés par le mot !
Les péquistes «confédéralistes» viennent d’être démasqués par les déclarations de l’écrivain Michel Tremblay. Depuis René Lévesque jusqu’à Boisclair - Parizeau n’étant pas de cette école - les péquistes utilisaient le mot «souveraineté» sans en expliquer toute l’extension.

L’auteur des «Belles sœurs» a remis les pendules à l’heure: le temps est venu de cesser de parler de souveraineté, de souveraineté-association avec ou sans trait d’union, de flirter avec la souveraineté-partenariat, concept qui exige un partage éventuel des responsabilités politiques avec le pays que l’on veut quitter. Ces termes flous et imprécis doivent être mis au rancart. Et pour toujours.

Pour éviter de verser dans la confusion, la manipulation politique et l’opportunisme électoraliste, les partisans du possible nouveau pays du Québec à faire, doivent utiliser l’expression «indépendance nationale» pour faire la promotion de leur cause. Et l’indépendance, selon Albert Camus, c’est d’abord le refus de toutes négociations. On le fait le pays…ou on ne le fait pas!

Des centaines de millions ont été dépensés inutilement à faire deux référendums portant sur des projets qui ne visaient, somme toute, qu’à renouveler le fédéralisme canadien ou à demeurer à l’intérieur du Canada. Si les Québécois veulent, à nouveau, se lancer dans l’aventure d’un troisième et dernier référendum, l’enjeu doit leur être présenté en toute clarté et lucidité.

Pour ce faire, le débat doit être ouvert, non partisan politiquement parlant, greffé sur une saine et complète information. L’exercice terminé, les citoyens devront se prononcer sur le projet clairement exposé par l’option indépendantiste: un nouveau pays à faire, avec toutes les implications que cela comporte. Un plébiscite complètera l’opération. Il va sans dire qu’une question simple et courte, évitera, par la suite, les multiples interprétations des résultats et, en quelque sorte, viendra clore le débat.

Ce sera le premier référendum qui portera sur l’indépendance du Québec. Il sera prudent d’avertir la population qu’il n’y en aura pas d’autres avant des générations et que celui-ci sera exécutoire dès les résultats connus. Le Québec, ainsi, deviendra un pays ou ne le sera pas. Dans l’éventualité d’une réponse positive, il devra assumer toutes les conséquences nationales et internationales d’un tel geste. Dans l’éventualité d’une réponse négative, il devra assumer aussi toutes les conséquences du geste posé : rester un membre à part entière de la Fédération canadienne, avec ses bons et ses mauvais côtés.

Le choix est maintenant devant le peuple : ou bien il demeure une province d’un pays imparfait mais qui, selon les dires de René Lévesque, n’est pas le goulag, ou bien il opte pour faire du nouveau, bâtir du neuf, miser sur la maturité d’une population qui chante sa majorité.

L’option indépendantiste est louable et réalisable. Mais le bon peuple doit savoir qu’il ne s’agira pas d’une voie facile, d’un lit de roses, d’un pré vert, sans ronces ni épines. Quelques turbulences sont à prévoir. Les difficultés seront là : les Québécois doivent comprendre que le rêve est possible, à condition qu’ils se mettent à l’ouvrage. Et de cela, je n’en suis pas encore certain !

Nestor Turcotte
Matane
 
  Bah non, y'a pas de collusion...
L'été s'en vient, les voleurs reprennent du service...

« L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) estime que les cours du pétrole sont trop élevés et que leur hausse n'est pas justifiée par les fondamentaux du marché, a déclaré un haut responsable du cartel mardi. »

Le prix de l'essence est reparti à la hausse et ça m'enrage. C'est très facile pour moi de me mettre dans la peau d'un travailleur à faible revenu qui a besoin de sa voiture pour travailler. C'est ce que je suis !

Ai-je besoin de vous dire que, quand j'entend les "experts" justifier ces hausses dans les médias, j'aurais le goût de leur arracher la tête. Comme par exemple cette phrase, probablement en première page de La Presse... Il n'y a pas de doute, l'été s'en vient. Les automobilistes canadiens doivent se préparer à une nouvelle flambée du prix de l'essence.

Imaginez, La Presse n'a pas trouvé ce qu'en dit l'Opep assez intéressant. C'est ben plus informatif de faire parler un porte-parole des voleurs...

« C'est une conjoncture exceptionnelle qui ne laisse présager rien de bon pour les consommateurs au cours des prochains mois, dit Louis Forget, porte-parole d'Ultramar.

Pendant ce temps à RDI, on invoque les tensions entre l'Iran et les Etats-Unis pour justifier la hausse...

*&?$/"/*&?%$
 

Bienvenue chez M.PITOU

Ici, vous êtes chez vous à la condition de connaître la définition du mot respect !
Vous pouvez ne pas être d'accord avec moi. Si vous avez des arguments solides, je pourrais changer d'idée... pourquoi pas !
Si vous pompez trop, calmez vous un peu et revenez.

De mon coté, je tenterai de faire la même chose !


Guy Vandal
M.PITOU


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***Curriculum PITOU***

Prénom: Guy
Nom: Vandal
Age: 46 ans
Sexe: Devinez...
Scolarité: Perdu un peu de temps à l'UQAM en science politique.
Profession: Je pratique ce que l'on pourrait nommer; vendeur à la pige. Ce n'est pas ce que j'aime le plus, mais c'est ce qui me permet de gagner ma vie. Et comme je n'ai pas encore appris à me mettre à genoux devant un patron, je suis chanceux d'avoir ce talent. Depuis janvier 2004, j'enseigne la vente, à des jeunes de préférence, par le biais d'une campagne de financement.
Expérience de travail: Un livre ne serait pas suffisant mais... disons que j'ai connu plus d'une centaine d'employeurs ! Selon moi, ce n'est pas de l'instabilité. C'est plutôt le fait que je ne respecte pas ceux qui ne me respectent pas et que je ne suis pas hypocrite ni diplomate. De plus je n'aime pas plafonner. Je travaille au même endroit depuis janvier 2004, un record dans mon cas !
Pourquoi ce carnet ? Pour me défouler et apprendre à écrire.
Pourquoi ce "Curriculum PITOU" ? J'ai pensé que les lecteurs voudraient peut-être savoir qui est le "chien" qui se cache derrière M.PITOU.
Première expérience avec un parti politique: Réal Caouette et le Crédit Social... j'avais 12 ans !
Si je gagnais à la loto: Je tenterais de mettre sur pied un média qui agit pour améliorer le sort de la population.
Je rêve: Que je n'écris pas pour rien.
Appartenance politique: Alloiste... un obscur groupuscule comprenant deux membres... bénévoles !
Ambition politique: Se débarrasser pacifiquement de tous les politiciens et les remplacer par une vraie démocratie grâce à internet.
Pourquoi le nom de M.PITOU ? J'écrivais des horoscopes humoristiques avec ce pseudonyme il y a quelques années dans le journal étudiant du CEGEP St-Laurent. C'est parce que je connaissais celle qui était rédactrice en chef et non à cause de mon charme que j'ai eu le poste... évidemment ! J'ai aussi sévi avec ce pseudonyme, sur un site, Pssst, où je ne me suis pas fait que des amis et qui est mort maintenant.

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